C'est la faute aux impôts
Reconnaissons-le humblement, c'est le flop total. Tout ce tintouin avec cette histoire de lundi pour finalement publier un mardi ! On se sent aussi minable que si on avait manqué la soirée spéciale d'ARTE sur René Char. Pour boire le calice jusqu'à la lie, voici même notre excuse minable: la déclaration d'impôts. Sans vouloir vous barber avec nos problèmes de riche, sachez (si vous ne le savez déjà) que l'année où on se marie, il faut tout ventiler sur 3 déclarations: nos salaires, les salaires de notre PME (eh oui, 1 femme de ménage et 2 baby sitter, c'est une PME), les cotisations URSSAF correspondantes (dégrèvées des éventuelles allocations, bien sûr), les frais de centre aérés (sauf frais de restauration, bien-sûr), les dons, les pensions, etc. Même pour un team pluridisciplinaire, ingénieur + financière, c'est pas de la tarte. Voilà.
Il ne nous aura fallu que 3 semaines pour arroser l'arrivée d'Iris avec Bertrand (du bâtiment) et Françoise (du bâtiment aussi).
B aussi impayable à l'image qu'au clavier.
Sylvestre a été un peu malade.
Une jeune maman gatée pour la fête des mères
Iris se cherche un peu : quand elle sera grande, sera-t-elle chef de gare, fleuriste ou ouistiti ?